Résumé :
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Comme dans Les terrasses de l'île d'Elbe et Les trois arbres de Palzem, Giono dans ce nouveau recueil de chroniques, jongle entre le présent et le passé.Le moindre incident d'aujourd'hui fait surgir, comme une source intarissable, des souvenirs, des histoires, des personnages. Ecrits à la fin de sa vie, entre 1966 et 1970, ces textes sont empreints de bonhomie, d'une philosophie souriante, un peu passéiste. Cela n'exclut pas l'émotion, et l'on trouvera ici les plus belles pages qu'il ait peut-être écrites sur sa mère. On pourrait lire ce livre comme un art de vivre, de voyager, de se nourrir, de se faire des amis.Il s'achève sur un texte consacré aux parfums, qui est le dernier écrit par Giono, quelques semaines avant sa mort.
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