Résumé :
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Le comble pour un auteur ? Ecrire un livre où il n'y a pas un seul mot de son cru! Pari tenu! Car ici, c'est la "sottise bourgeoise" qui parle...La multitude aime à reprendre et colporter lieux communs et absurdités... Des mots accolés l'un à l'autre qui, à force de banalité ou d'automatismes, deviennent la plus pure expression de la bêtise universelle! Ainsi, on est toujours fort comme un Turc, et l'alpha ne va pas sans l'oméga. Une hirondelle fait toujours le printemps. Et l'habitude reste une seconde nature... On ouvre les hostilités comme une huître.Le marron a pour femelle la châtaigne. Et la littérature est l'occupation des oisifs. Idées reçues, phrases toutes faites, Flaubert leur tord le cou d'un trait de plume... Jubilatoire
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