Résumé :
|
Dans ce troisième volume de La Nouvelle Psychologie Spirituelle, Selim Aissel aborde l'une des pratiques fondamentale de son Enseignement : l'harmonisation du centre émotionnel.Sont regroupés dans cet ouvrage les aspects les plus importants du Travail sur les émotions négatives afin de réussir un jour à s'en libérer et vivre au meilleur niveau de soi-même et en harmonie avec les autres. La publication de La Nouvelle Psychologie Spirituelle est une contribution majeure apportée aux rares ouvrages modernes de qualité sur ce sujet. Débordant largement les acquis de la psychologie et des autres théories psychosomatiques en vogue, cet ouvrage intègre à la fois la dimension spirituelle et celle du " travail " pratique sur soi, ce que les alchimistes ont appelé le " Grand ?uvre ".P.D. Ouspensky parlait d'une " psychologie de l'évolution possible " ; Selim Aïssel, quant à lui, développe d'une manière magistrale celle de " l'être et du devenir ", une psychologie de la transformation. Peut-être l'élément le plus convaincant est-il sa façon vivante d'aborder les questions humaines et de les conduire à leur solution à la manière d'une maïeutique socratique. Du point de vue spirituel, Ouspensky esquissait une théorie psychospirituelle de la 4e Voie, Krishnamurti parlait dans la pureté et la clarté, D.T.Suzuki de la Voie abrupte du Zen et, en France, A. Desjardins de celle, subtile, alliant modernité et tradition : l'auteur est un maître de la pratique immédiate, un Maître de Sagesse au quotidien. Il ne fait aucun doute que les sources de son enseignement sont à chercher chez G.I. Gurdjieff ainsi que chez Pir Kejttep Ançari et les Soufis. Il a lié à cette Sagesse millénaire les acquis psychologiques multiples de Freud et Jung, de Reich et Lacan. Pour la première fois, une psychologie intègre dans une dimension universelle et même cosmique, l'individu non seulement en tant qu'être terrestre familial et social mais également en tant que partie du cosmos : ceci peur le macrocosme.Le microcosme est celui où il se retrouve lui-même au " fond du cour ", face à lui-même, c'est-à-dire à son être réel. Voilà ce qu'il s'agit bien de trouver ou de retrouver, ce que l'homme a perdu un jour son âme ou son essence.
|